« L’ombre de la lyre », poème mis en musique par Georges Delerue et diffusé sur France musique par Véronique Sauger (2010)

L’ombre de la lyre  – M’entendez-vous ma douce amie M’entendez-vous dans ce lointain Je suis cette muse endormie Qui disparut un beau matin – Mais où est donc mon tendre ami, vous qui manquez À mon cœur  attristé. Depuis votre départ J’erre en vain en plein désert sans communiquer Et me perds dans de vains… Poursuivre la lecture « L’ombre de la lyre », poème mis en musique par Georges Delerue et diffusé sur France musique par Véronique Sauger (2010)

« Messager », poème commenté

Mon poème  » Messager « , commenté par le regretté Pr et critique littéraire tunisien Mohamed Salah Ben Amor Messager J’essayais en vain de raccrocher les wagonsDe ce train dément où voyage l’horizon,Mais ne parvenais pas dans cette course folleÀ rassembler leurs liens voguant au gré d’Éole. Mus par un ouragan de pensées délétères,Les nuages du… Poursuivre la lecture « Messager », poème commenté

« Ivresse », poème commenté

Mon poème « Ivresse » commenté par le regretté Pr et critique littéraire tunisien Mohamed Salah Ben amor Ivresse J’envie cette coupe qui effleura tes lèvresDéjà, comme elle, frustrée, je guette l’instantDe rafraîchir ton corps comme tu l’aimais tantDes bulles qui pétillent dans mon cœur en fièvre Viens Approche tes lèvres de ma coupe ambréeSavoure ce champagne… Poursuivre la lecture « Ivresse », poème commenté

« Sait-on pourquoi on aime ? », poème commenté

« Sait-on pourquoi on aime ? » Poème commenté par le regretté Pr et critique littéraire tunisien Mohamed Salah Ben Amor Sait-on pourquoi l’on aime ?On aime tout simplement,on aime voilà tout.On aime ces silences qui rapprochent,ces soupirs qui chantentlors de la fusion ivre des corps.On aime cette absence de remordslorsque l’aurore s’éveilleet que s’installe la tendresse… Poursuivre la lecture « Sait-on pourquoi on aime ? », poème commenté

Aube

Un papillon vient se poser sur une branche,bouge timidement ses antennes agileset déploie les volants multicolores de sa robedans la clarté transparente de l’aube.La rosée matinale a déposé, ici et là, des perlessur les pétales veloutés des roses assoupies.Le mois de mai a tenu sa promesse ;avec lui, la beauté, l’apaisement viennentcombler d’une joie retrouvée le… Poursuivre la lecture Aube

Aube

Un papillon vient se poser sur une branche,bouge timidement ses antennes agileset déploie les volants multicolores de sa robedans la clarté transparente de l’aube.La rosée matinale a déposé, ici et là, des perlessur les pétales veloutés des roses assoupies.Le mois de mai a tenu sa promesse ;avec lui, la beauté, l’apaisement viennentcombler d’une joie retrouvée le… Poursuivre la lecture Aube

« Jardin du souvenir », critique littéraire

Mon poème « Jardin du souvenir » commenté par le regretté Pr et critique littéraire tunisien Mohamed Salah Ben Amor Jardin du souvenir Il y a dans le grand livre du souvenirinscrit en filigrane délicat ton nom,à ses côtés, en lettres brodées, ton prénomy figure posé sur l’aile d’un soupir.Il y a dans ce long poème, nos… Poursuivre la lecture « Jardin du souvenir », critique littéraire

Un punto tras otro (Une maille après l’autre)

Un punto tras otro Un punto tras otro, teje la esperanza.Un punto tras otro, hila el cariño.Estas tramas de ternura se regalan por las nochesa las personas que sienten frío y hambreen este dilema de la vida sin amor.Un punto tras otro, teje la abuelamientras reza por los niños sin albergueen esta Nochebuena,para que en… Poursuivre la lecture Un punto tras otro (Une maille après l’autre)

Filent les jours

La nef file au large,filent les jours en marge de cette destinée.Combien de mois, d’années, que d’espoirs surannésà recompter sa peine.La mer, s’étire à perdre haleinele long de la côte armoricaine.Les vagues agonisantes s’évadent, se retirentvers l’infini.Dans la nuit opaline, des mouettes lassess’inclinent.Le soir, rompu aux affres de la nuit,décline.La nef continue seuleà tracer sa… Poursuivre la lecture Filent les jours

Poème court 2970

L’amour est un oiseau majestueux et beau s’évadant à tire-d’aile par-delà les vagues de l’existence vers des nuages posés par l’Éternel sur l’infini des rêves…  © Monique-Marie Ihry – 29 juillet 2010 – Poème extrait du recueil de poésie A tire d’aile, l’oiseau, Collection Plume d’ivoire n° 7, Cap de l’Étang Éditions, 2018)