Au loin sur les montagnessommeillaient des nuages.Assise aux pieds d’un arbre,l’âme vide de larmes,s’éveillait une fleur.De ses cendres, la fleurrenaissait à la vie,et dans son cœur ravis’imposaient en filigraneles prémices d’un bonheur ineffable … © Monique-Marie Ihry – 14 juillet 2011 –