« Danser, danser avec ton ombre une dernière valse, une danse ultime conjuguant l’irréel au sublime, mêlant le réel à l’inconnu du ciel. Valser avec ton ombre, évinçant le sombre de la brume, fouler avec toi une dernière fois le duvet infini d’un nuage. Danser, emprunter encore le sentier paisible et bleu des songes, par-delà le possible, rien qu’une seule et dernière fois, au berceau céleste de tes bras aimants ! »…
Après Rendez-vous manqués, Le cœur d’Ana et bien d’autres recueils de poésie, La main de l’ange évoque le thème de l’absence. Cet ouvrage écrit avec le cœur dans lequel les souvenirs se déclinent avec harmonie, est une ode au noble et bel amour survivant bien au-delà de tout.
Le Pr Mohamed Salah Ben Amor de conclure dans une étude sur la poésie de l’auteure :
« Monique-Marie Ihry, en puisant sa poésie directement dans l’expérience réellement vécue dans l’arène de la vie, a fait revenir la littérature, selon l’expression de Tzvetan Todorov ‘au cœur de l’humanité’, et la poésie tout particulièrement à son essence première qui est, d’après Paul Valéry : ‘l’expression artistique d’une expérience vécue’, alors que la poésie a été réduite ou presque ces dernières années à des jeux linguistiques artificiels et insipides ».
Précisions sur l’ouvrage :
ISBN : 9 782376 130079
Nombre de pages : 80
Prix : 15 €
Collection Plume d’ivoire n° 1, Cap de l’Étang Éditions, 2017