Sur les rives de ce lac, fébrilementJe promenais ma solitude et ma langueur,Errant par habitude dès le firmament,Œuvrant pour oublier les chiasmes du cœur. L’air matinal et pur dans la brume azaléeLaissa entrevoir un azur entre les branches…Le spleen de l’aurore s’en était allé,La nature s’éveillait en ce clair dimanche. Combien de temps avais-je divagué,… Poursuivre la lecture Aurore