Et chavira mon cœur

Ses yeux paraissaient surgir de l’aurore.Il était beau et semblait… Comment dire ?merveilleux.Mon cœur chavira soudaindans les méandres de l’espoir.Je me voyais côtoyant des chimères,voguant sur l’onde de la merà cent lieues de mon défunt chagrin.M’abandonner au vent dans ses mains,me laisser emporter par la vagued’un non-retour devint à cet instantle mirage d’un possible.Je m’enfuis… Poursuivre la lecture Et chavira mon cœur

Et chavira mon cœur

Ses yeux paraissaient surgir de l’aurore.Il était beau et semblait… Comment dire ?… Merveilleux !Mon cœur chavira soudaindans les méandres de l’espoir.Je me voyais côtoyant des chimères,voguant sur l’onde de la merà cent lieues de mon défunt chagrin.M’abandonner au vent dans ses mains,me laisser emporter par la vagued’un non-retour devint à cet instantle mirage d’un… Poursuivre la lecture Et chavira mon cœur

Un beau jour au mois d’août

Dans les prés endormis où le calme reposeLa campagne assoupie semble faire une pause.Une épine acérée me lacère le cœurEt la rose se meurt au chant d’une rancœur. Tu ne reviendras plus fouler les nuits éclosesEmprunter avec moi les chemins grandiosesOù fleurissaient nos joies, baisers sages et fousSur les sentiers rêvés d’un beau jour au… Poursuivre la lecture Un beau jour au mois d’août

Un beau jour au mois d’août

Dans les prés endormis où le calme repose la campagne assoupie semble faire une pause. Le soleil est parti rejoindre l’horizon puis il a disparu emportant son blason. Peu à peu dans la nuit où s’étiole la rose résonne dans mon cœur un refrain bien morose. Il me faut oublier l’été, sa floraison, les feux… Poursuivre la lecture Un beau jour au mois d’août

Au crépuscule de l’amour

Je sais désormais que tu ne reviendras pas,je sais qu’à moi tu ne seras plus,car l’on ne revient jamais de la contrée éloignéedes amours mortes…Il ne reste des jours heureuxque de rares feuilles flétries, maculées,éparses, s’accrochant sur les longues branchesépuisées de notre idylle.Dans le soir abandonné,pleure une guitare longuement.Elle larme comme la merdont les vagues… Poursuivre la lecture Au crépuscule de l’amour