Sur les rives du Rhin La mort était inscrite à ses flancs faméliques.Le vagabond penché sur son futur défuntDéfiait sa douleur, l’espoir sans lendemain,Se leurrait de cendres, s’enivrait d’arsenic. Il paraît de bleuets un présent narcotiqueAlors que dans le noir distillaient leur veninLes rigueurs de l’hiver, les cloches d’un tocsinSur le parvis absent de notre… Poursuivre la lecture Sur les rives du Rhin (poème commenté)