« L’amour, la mer », poème commenté

L’amour, la mer L’amour est un petit bateauQui vogue blanc au fil de l’eauSur les vagues bleues de la vieDans une liesse infinie Qu’il soit radeau, barque bohèmeIl navigue dans un poèmeSur les flots heureux de l’amourDans la promesse d’un toujours Bercé par la chanson des flotsBalancé au fil des rouleauxIvre d’émoi et d’allégresseNe fait… Poursuivre la lecture « L’amour, la mer », poème commenté

« D’un souffle », poème commenté

Poème commenté par le regretté Pr et critique littéraire tunisien Mohamed Salah Ben Amor D’un souffle Très las, il s’assoupit dans un souffle serein.Son corps voluptueux reposait sur le drapDe soie rose. Il mettait en valeur son teintPerle de rosée au velours très délicat. J’eus soudain envie de lui offrir un baiser,De caresser ses hanches,… Poursuivre la lecture « D’un souffle », poème commenté

« Orée d’une éternité », poème commenté

Mon poème  » Orée d’une éternité  » commenté par le regretté Pr. et critique littéraire tunisien Mohamed Salah Ben Amor Orée d’une éternité Je vis éclore sur ses lèvresLes prémices d’un bleu sourire,Rose en porcelaine de Sèvres,Délicatesse d’un porphyre…Je crus accéder aux cieux.Poussée par les ailes de l’aube,Portée par l’air mélodieuxQue la lyre aux âmes… Poursuivre la lecture « Orée d’une éternité », poème commenté

Ma mie

Ma Mie,Quand vous aurez tant d’annéesQue les compter, vous ne pourrez,Quand vous aurez tant vécuQue les souvenirs conter, vous ne pourrez,À ma blanche aile vous viendrez vous reposer,Et le soir à la veillée,L’un contre l’autre blottis,Ensemble, ma MieNous conterons nos joies, nos rires,Nos enfants, le fruit de nos deux cœurs,Sur le grand livre serein de… Poursuivre la lecture Ma mie

Dites-lui !

Si par bonheur vous le rencontrezdans sa demeure de l’au-delà,dites-lui que je me languisde lui,dites-lui que je me languisde tout,dites-lui que la terre,sans luiest sans saveur,que la merrejoint l’éphémère,que le mondeest désormais sans facondeà mes yeuxet que je me meursd’amour,loin de luipour toujours ! © Monique-Marie Ihry – 11 mars 2013 – (toile de l’auteure… Poursuivre la lecture Dites-lui !

Masque

La guerre a fait rage dans le blanc paysage de l’hiverdésormais maculé par le sang de valeureux soldats…Seule est la plaine sous la bise hivernalequi souffle en rafale son amertume glaçantesur les corps étalés, sans défense, abandonnés,exposés aux rigueurs hivernales.Isolés, sont ces êtres en phase terminale,ces corps mutilés dont l’âme, déjà, s’en est alléevers des… Poursuivre la lecture Masque

« Bleuets », critique littéraire

Mon poème « Bleuets » commenté par le Pr Mohamed Salah Ben Amor Bleuets Sur le berceau de l’eau fleurissaient des bleuets.Ces fleurs avaient d’azur les pétales fluets,Leur parfum exhalait une fragrance bleueQui diffusait dans l’aube un reflet bienheureux. Un amour s’installait sur l’étang endormiEt le cœur en éveil s’enivrait d’infini… Monique-Marie Ihry – 2 juillet 2012… Poursuivre la lecture « Bleuets », critique littéraire

Le pied du célibat

Sans cesse poussé vers de nouveaux rivagesà s’embarrasser d’une nouvelle conquête,toujours armé du plus grand des couragespour s’enfuir vers une autre et faire la fête,l’homme faisait de tous ses voyagesune escale où trouver le repos du guerrierC’était en somme bouffer à tous les râtelierssans l’inconvénient de s’engagerC’était comment dire ?c’était pour luile pied ! ©… Poursuivre la lecture Le pied du célibat

Les rochers de l’aube

Sur les trottoirs frileux, les feuilles se dérobentet partent rejoindre les caniveaux de l’aube.Nus pieds, va, court la pluie sur les pavés glissantsde la rue, rejoignant les larmes dont le flot s’est accru.Sur sa jument ivre, le vent fend la pénombre,déchire sans vergogne la robe ballerinedes papillons de l’ombre…Flétri par la mémoire assassine,le cœur s’effeuille… Poursuivre la lecture Les rochers de l’aube

« Les rochers de l’aube « , critique littéraire

Mon poème « Les rochers de l’aube » commenté par le regretté Pr et critique littéraire Mohamed Salah Ben Amor Les rochers de l’aube Sur les trottoirs frileux les feuilles se dérobentEt partent rejoindre les caniveaux de l’aube.La pluie va nus pieds sur les pavés de la rueRejoindre les larmes dont le flux s’est accru.Le vent sur… Poursuivre la lecture « Les rochers de l’aube « , critique littéraire