De longs gants de velours

Des gants de velours Il n’est de souvenirs que les heureux instantsQui fleurirent la vie de précieux printemps,Et l’on ne peut verser dans une paix sereineLorsque sévit la nuit martelant de son renneLe dos voûté fourbu de lointaines amours,Fût-ce-t-il avec des gants, des gants de velours… © Monique-Marie Ihry – 8 juillet 2015 –