(Sonnet) Sous le charme opalin d’une rime éphémère,Je me laissai porter par les flots de ton cœurAu vertige absolu d’une douce liqueurOù tout devient tranquille, apaisement, chimère… À des mille et des cents de ma province amèreOù la guerre assassine impose son vainqueur,Sous les chants des oiseaux, le baume de leur chœur,Je rêvais d’une paix,… Poursuivre la lecture Sur la vague d’un songe