Sans cesse poussé vers de nouveaux rivages
à s’embarrasser d’une nouvelle conquête,
toujours armé du plus grand des courages
pour s’enfuir vers une autre et faire la fête,
l’homme faisait de tous ses voyages
une escale où trouver le repos du guerrier
C’était en somme bouffer à tous les râteliers
sans l’inconvénient de s’engager
C’était comment dire ?
c’était pour lui
le pied !
© Monique-Marie Ihry – 17 février 2012 –
(Illustration de l’auteure intitulée « Fervente supplique » – Huile sur lin 56 x 48 cm -)