Mon cœur s’est réfugié au berceau de la merafin d’oublier du passé le tourment.Mais dans le puits obscur de cet antre liquide,il se retrouva sur une couche de boue,collé bien malgré lui, maculé jusqu’au cou,sans espoir d’émerger pour rejoindre le présent.Les déesses vagues, au-dessus de sa tête,rivalisaient de leur écume dentelledont les chevelures blanches ensemble… Poursuivre la lecture L’amer des grands fonds