Je ne désire pas abandonner mon corpsAu cortège de vers attendant mon trépas,Et je m’inscris en faux contre ce triste sortQui consiste à pourrir comme un vulgaire appât.Quand faiblira mon cœur aux portes de la mort,Revêtez-moi alors d’une aube d’apparat,Emportez-moi céans dans un heureux transportCélébrer l’aurore dans le feu de ses bras.Promettez-moi ensuite en chœur… Poursuivre la lecture Sur l’aile d’un nuage