[…]

 

La guitare flamenca dans un gémissement

Sublimait la douleur sur l’autel du mystère

Les notes s’enchaînaient d’un rythme volontaire

Dans le soir endeuillé et pleuraient longuement

 

La gitane dansait, au rythme de son cœur

Sa robe déployée telle une rose ouverte

La main en éventail à l’assemblée offerte

Dansant, virevoltant dans un cri douloureux

 

[…]

© Monique-Marie Ihry    –  6 juin 2015 –

Extrait du poème ” Flamenca “