Estérel

Estérel

Alors que je rêvais dans la langue des vers, le temps s’est arrêté sur un nuage bleu. L’azur enlaçait la mer, puis soudain la terre s’assoupit apaisée d’un heureux sourire.

Comme que je composais avec des pastels des vagues de tendresse et d’harmonie, la caresse du vent dans le soir Estérel berça mon cœur poète de son doux murmure. La ville au loin avait beau cracher ses bruits sourds, il me semblait que la vie ne pouvait s’éteindre. Il me sembla que le temps suspendait son cours, que tout à coup ce bonheur ne pouvait s’éteindre…

© Monique-Marie Ihry – 10 mai 2016 –

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *