Masque

La guerre a fait rage dans le blanc paysage de l’hiverdésormais maculé par le sang de valeureux soldats…Seule est la plaine sous la bise hivernalequi souffle en rafale son amertume glaçantesur les corps étalés, sans défense, abandonnés,exposés aux rigueurs hivernales.Isolés, sont ces êtres en phase terminale,ces corps mutilés dont l’âme, déjà, s’en est alléevers des… Poursuivre la lecture Masque

« Trêve », poème commenté

Poème commenté par le regretté Pr et critique littéraire tunisien Mohamed Salah Ben Amor Trêve Le cygne fendait l’eau, majestueux et beauDans le crépuscule s’éveillaient les étoilesDissipant peu à peu les brumes de leur voileL’ange dans les cieux semblait bénir les flots Au loin l’on entendait des chevaux les sabotsLe bruit de leur course dans… Poursuivre la lecture « Trêve », poème commenté

« Bleuets », critique littéraire

Mon poème « Bleuets » commenté par le Pr Mohamed Salah Ben Amor Bleuets Sur le berceau de l’eau fleurissaient des bleuets.Ces fleurs avaient d’azur les pétales fluets,Leur parfum exhalait une fragrance bleueQui diffusait dans l’aube un reflet bienheureux. Un amour s’installait sur l’étang endormiEt le cœur en éveil s’enivrait d’infini… Monique-Marie Ihry – 2 juillet 2012… Poursuivre la lecture « Bleuets », critique littéraire

Le pied du célibat

Sans cesse poussé vers de nouveaux rivagesà s’embarrasser d’une nouvelle conquête,toujours armé du plus grand des couragespour s’enfuir vers une autre et faire la fête,l’homme faisait de tous ses voyagesune escale où trouver le repos du guerrierC’était en somme bouffer à tous les râtelierssans l’inconvénient de s’engagerC’était comment dire ?c’était pour luile pied ! ©… Poursuivre la lecture Le pied du célibat

1er novembre

1er novembre Alors que l’on fleurit les tombesdes êtres que l’on a aimés,germe la vie en toute rose. © Monique-Marie Ihry – 5 février 2012 – « Depuis des millénaires, l’être humain a constaté que l’une des principales lois qui régissent l’univers est l’alternance de la plupart des phénomènes observés : la nuit et le jour,… Poursuivre la lecture 1er novembre

Après-midi de mai

Poème commenté par le Pr et critique littéraire tunisien Mohamed Salah Ben Amor Après-midi de mai Elle avait ce je ne sais quoiqui vous met les sens en émoi.Sa bouche avait un ton cerise,de celles que l’on cueille en mai.Je la peins fort déshabillée,lui fis la pose émerveilléecomme si elle regardaitl’ange dont elle était éprise.Sa… Poursuivre la lecture Après-midi de mai

Blache harmonie (poème commenté)

Poème commenté par le regretté Pr et critique littéraire tunisien Mohamed Salah Ben Amor Blanche harmonie La neige tombait encoreSur les arbres emmitouflés.Dans mon cœur transi gonfléD’ennui, fleurit une aurore… Monique-Marie Ihry – 26 janvier 2012 – « Le lecteur de ce haïku est saisi par quatre éléments hautement poétisés : le premier est le parallélisme… Poursuivre la lecture Blache harmonie (poème commenté)

« L’ombre de la lyre », poème mis en musique par Georges Delerue et diffusé sur France musique par Véronique Sauger (2010)

L’ombre de la lyre  – M’entendez-vous ma douce amie M’entendez-vous dans ce lointain Je suis cette muse endormie Qui disparut un beau matin – Mais où est donc mon tendre ami, vous qui manquez À mon cœur  attristé. Depuis votre départ J’erre en vain en plein désert sans communiquer Et me perds dans de vains… Poursuivre la lecture « L’ombre de la lyre », poème mis en musique par Georges Delerue et diffusé sur France musique par Véronique Sauger (2010)

 » Ne vous en déplaise « , poème commenté

Mon poème  » Ne vous en déplaise  » commenté par le regretté Pr et critique littéraire tunisien Mohamed Salah Ben Amor Ne vous en déplaise On me reproche parfoisD’écrire « à l’eau de rose ».Il se trouve que j’oseEt c’est là bien mon droit !Je fais fi des critiquesMe moque des critiqueuxCeux qui ont fait… Poursuivre la lecture  » Ne vous en déplaise « , poème commenté

« Ivresse », poème commenté

Mon poème « Ivresse » commenté par le regretté Pr et critique littéraire tunisien Mohamed Salah Ben amor Ivresse J’envie cette coupe qui effleura tes lèvresDéjà, comme elle, frustrée, je guette l’instantDe rafraîchir ton corps comme tu l’aimais tantDes bulles qui pétillent dans mon cœur en fièvre Viens Approche tes lèvres de ma coupe ambréeSavoure ce champagne… Poursuivre la lecture « Ivresse », poème commenté