“Après-midi de mai”, poème commenté par le Pr. Mohamed Salah Ben Amor

(toile de l’auteure)     Elle avait ce je ne sais quoi qui vous met les sens en émoi. Sa bouche avait un ton cerise, de celles que l’on cueille en mai. Je la peins fort déshabillée, lui fis la pose émerveillée comme si elle regardait l’ange dont elle était...