Au paradis des roses
Dans le patio ensoleillé de la vie
éclot ici et là ton souvenir radieux.
Dans la grande ronde
des jours et de l’amitié,
assoupie à jamais
entre deux bouquets de poèmes,
tu t’élèves sereine
le cœur heureux, l’âme légère
à l’abri des rigueurs de l’hiver…
Repose-toi mon amie
repose-toi, poète au tendre cœur,
la mort est oasis
au royaume de la lumière,
chaque jour y est aurore,
l’âme s’y repose
à l’abri des caprices, ici-bas
de l’hiver.
© Monique-Marie Ihry – 24 janvier 2014 –
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