J’abandonnerai ma douleur sur le pas de ma porte dès l’éclosion d’un seul baiser de toi, un baiser d’oiseau, léger et doux comme une plume, un baiser azur, baiser de joie et d’harmonie au printemps d’un renouveau…

 

©  Monique-Marie Ihry   

texte déposé

Extrait d’un recueil de poésie de l’auteure