Il me semble écrire ce soir
les vers les plus mélancoliques
que ma plume ait jamais enfantés.
Brune est la lune,
tristes sont mes vers
sur l’onde solitaire du cœur endolori.
Mon cœur, telle une fleur
à la corolle flétrie
s’étiole,
se meurt
au vent du crépuscule…
© Monique-Marie Ihry – 14 août 2009 –
toile de l’auteure intitulée ” Baiser volé “
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